Six personnes se sont fait prendre dans les filets de la gendarmerie après qu’un rapt contre rançon a été pris à contre-pied à Toamasina. Le cerveau présumé est une figure connue du microcosme politique.
Le dénouement du rapt de Kamis Arman, un opérateur économique d’origine indienne, propriétaire de l’entreprise de transport Transfy fait du bruit dans le landerneau.
L’arrestation du présumé commanditaire, personne de l’entourage d’une ministre en exercice, proche d’un ayant voix au chapitre auprès de la présidence sous le régime Rajaonarimampianina et collaborateur d’un candidat à la magistrature suprême, provoque un séisme dans le microcosme politique.
Ce prétendu cerveau groupement de la gendarmerie nationale de la region Atsinanana s’est avérée fructueuse. « Son arrestation porte à six le nombre de suspects arrêtés dans le cadre de l’enlèvement de Kamis Arman. Le dernier suspect côtoie certes, des personnalités du gotha politique mais les éléments qui ont découlé de l’investigation ne permettent pas d’établir la thèse d’un possible dessous politique du kidnapping.
Il ne s’agit autre que d’un business criminel », lance le lieutenant-colonel Théodule Ranaivoarison, commandant du groupement de la gendarmerie de la région Atsinanana. Kamis Arman est tombé dans les griffes des ravisseurs à Ampasimazava, Toamasina, dans l’après-midi du jeudi 22 novembre, aux alentours de 15 heures.
Les assaillants ont débarqué avec l’épave roulante d’une Peugeot 309. Brandissant des fusils kalachnikovs et opérant à visage découvert, ils étaient quatre à bord du véhicule. La victime a été enlevée dans son bureau, sous les yeux impuissants de ses employés.
Lescouade armée a sommé toutes les personnes qui s’y trouvaient, de se mettre à genoux lorsqu’ elle a fait irruption dans les locaux de l’entreprise. Ils ont abandonné leur tonitruante Peugeot 309 pour jeter l’opérateur économique pris pour cible à bord de son propre véhicule, une Volkswagen Touareg après lui avoir bandé les yeux.
En arrivant au croisement de Tsarakofafa, la bande a transbordé la victime sur une deux roues, d’où il a roulé en triple montée avec deux autres membres de la bande, les yeux toujours bandés et la tête couverte d’un casque à visière opaque. Pour tromper le flair des chiens pisteurs, les kidnappeurs l’ont d’abord mis complètement nu, ont versé de la poudre toxique sur les vêtements qu’il portait, avant qu’ils ne lui mettent d’autres habits. De leur côté, les quatre auteurs du rapt ont pris la poudre d’escampette à bord d’un tout-terrain pick-up de couleur blanche qui les attendaient au point de transfert.
Simulacre « L’endroit où le captif a été séquestré, a été dévoilé le 26 novembre, cinq jours après le kidnapping.
Nous avons intensifié les recherches de renseignements et procédé par élimination pour localiser la tanière des ravisseurs », lance le colonel Théodule Ranaivoarison. Les ravisseurs ont mis la barre très haute lorsqu’ils sont entrés en contact avec la famille du captif.
Au début des marchandages, ils ont réclamé la somme faramineuse de quatre milliards d’ariary avant de descendre à trois milliards, puis à deux après une négociation ardue.
Roué de coups et violenté pendant sa captivité, le sexagénaire était sur le point de flancher au bout de quelques jours.
Pressés d’empocher le pactole du crime, les kidnappeurs ont monté un simulacre de torture pour semer l’inquiétude parmi les proches du captif. Le corps et le visage enduits de sang de volaille, Kamis Arman lance par une vidéo tournée dans une douche, un appel de détresse dicté par les ravisseurs. Il y raconte son calvaire et fait part de maltraitances et de bastonnades qu’il a subies le jour où l’enregistrement est parvenu à ses proches.
« Une salve de coups de feu a éclaté lorsque nous avons pénétré dans le repaire des ravisseurs. Très affaibli, le captif en est sorti à genoux, mais sain et sauf, en levant les mains et en mettant en évidence trois doigts pour nous signifier que trois des ravisseurs se terraient dans la maison et cherchaient à s’échapper.
En passant la propriété au peigne fin, nous avons arrêté celui qui était chargé de surveiller l’otage. Nous avons, dans la foulée, mis la main sur un kalachnikov nourri avec quatre boîtes de chargeurs », indique le commandant du groupement.
Après cette première arrestation, la gendarmerie a réussi à remonter jusqu’aux propriétaires de la villa, dont une femme et son fils. En plongeant de plein pied dans les investigations, les limiers ont ensuite appréhendé le propriétaire de la moto utilisée au moment des faits.
Un autre suspect s’est ensuite fait prendre à Antananarivo. En creusant d’autre pistes et après avoir rassemblé d’autres éléments du puzzle, la gendarmerie a démasqué le politicien soupçonné de tirer les ficelles dans toute une série de rapts contre rançon. Celui-ci a déjà été traduit devant le tribunal en 2016 pour pareille affaire.

Seth Andriamarohasina

https://www.lexpressmada.com/06/12/2018/industrie-du-kidnapping-un-politicien-influent-comme-cerveau-presume/

 

RANARISON Tsilavo gagne tous ses procès à Madagascar malgré toutes les preuves écrites qui démontrent ses mensonges et ses contre vérités

2015
31/07/2015

RANARISON Tsilavo accuse Solo d’avoir fait virer sans contrepartie 1.047.060 euros à la société EMERGENT alors que RANARISON Tsilavo reconnaît lui-même par un email du 25 avril 2012 que la société EMERGENT a envoyé pour 1.361.125 USD et 297.032 euros de matériels à la société CONNECTIC

RANARISON Tsilavo dépose une plainte pour abus de biens sociaux le 20 juillet 2015 pour 3.663.933.565,79 ariary, équivalent de 1.047.060 euros. Alors qu’il reconnaît lui-même par email le 25 avril que la société française EMERGENT a envoyé pour 1.361.125 USD et 297.032 euros de matériels à la société CONNECTIC     La plainte avec demande […]

30/07/2015

RANARISON Tsilavo reconnait le 25 avril 2012 par email que la société EMERGENT a envoyé pour 1.361.125 USD et 297.032 euros de matériels à la société CONNECTIC

RANARISON Tsilavo reconnait le 25 avril 2012 par email que la société EMERGENT a envoyé pour 1.361.125 USD et 297.032 euros de matériels à la société CONNECTIC

Dans sa plainte du 20 juillet 2015 pour abus de biens sociaux, RANARISON Tsilavo, simple associé de la société CONNECTIC, accuse Solo son patron d’avoir fait virer 1.047.060 euros de la société CONNECTIC vers la société EMERGENT NETWORK grâce à des factures fictives. Dans un email qui date du 25 mars 2012, RANARISON Tsilavo reconnaît […]

30/07/2015

RANARISON Tsilavo, simple associé, accuse Solo d’avoir fait virer 1.047.060 euros de la société CONNECTIC à la société française EMERGENT NETWORK

RANARISON Tsilavo, simple associé, accuse Solo d’avoir fait virer 1.047.060 euros de la société CONNECTIC à la société française EMERGENT NETWORK

C’est RANARISON Tsilavo lui même qui a signé TOUS les avis de virement totalisant 1.047.060 euros et a reconnu que les virement ont une contrepartie. La plainte de RANARISON Tsilavo  avec demande d’arrestation du 20 juillet 2015 est rédigée comme suit : Que sieur Solo, étant gérant de la société CONNECTIC et société EMERGENT NETWORK […]

30/07/2015

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 avis de virement de 1.047.060 euros de la société CONNECTIC à la société française EMERGENT NETWORK

Donc RANARISON Tsilavo, simple associé, accuse Solo d’avoir fait virer 1.047.060 euros de la société CONNECTIC à la société française EMERGENT NETWORK par une plainte du 20 juillet 2015 alors qu’il a lui-même reconnu dans un email du 25 avril 2012 que la société EMERGENT NETWORK a envoyé pour 1.361.125 USD et 297.032 euros de […]

30/07/2015

RANARISON Tsilavo, directeur exécutif de la société CONNECTIC, est le seul et l’unique signataire des comptes bancaires de la société CONNECTIC

Dans sa plainte du 20 juillet pour abus de biens sociaux, RANARISON Tsilavo, simple associé de la société CONNECTIC, accuse Solo d’avoir fait virer 1.047.060 euros de la société CONNECTIC vers la société EMERGENT NETWORK grâce à des factures fictives. Dans un email qui date du 25 mars 2012, RANARISON Tsilavo reconnaît lui-même que la […]

30/07/2015

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 avis de virement d’un montant de 1.047.060 euros qu’il est estime dans sa plainte du 20 juillet 2015 comme sans contrepartie

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 avis de virement d’un montant de 1.047.060 euros qu’il est estime dans sa plainte du 20 juillet 2015 comme sans contrepartie

En 2009, RANARISON Tsilavo a signé TOUS les virements bancaires de la société CONNECTIC vers la société EMERGENT qu’il considère comme sans contrepartie 2009 RANARISON Tsilavo a signé TOUS les virements bancaires qu’il considère comme sans contrepartie l publié par infos3   En 2010, RANARISON Tsilavo a signé TOUS les virements bancaires de la société […]

29/07/2015

La plainte d’abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo est traitée en une dizaine de jours mise en détention du prévenu comprise pour 5 mois à la prison d’Antanimora jusqu’au verdict de l’affaire

La plainte d’abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo est traitée en une dizaine de jours mise en détention du prévenu comprise pour 5 mois  à la prison d’Antanimora jusqu’au verdict de l’affaire

RANARISON Tsilavo, simple associé à 20 % de la société CONNECTIC, a déposé la plainte pour abus de biens sociaux, contre son patron qui détient 80 % de ladite société CONNECTIC, auprès du Procureur Général de la Cour d’Appel d’Antananarivo le lundi 20 juillet 2015. Déjà une plainte pénale est normalement déposée chez Procureur de […]