Des gendarmes d’élite hyper-équipés sont sur les traces d’une vingtaine de kidnappeurs qui a enlevé une personnalité et découpé quatre villageois. Le mauvais temps mêlé de soucis techniques stoppent les poursuivants dans leur élan.
Les forces de défense et de sécurité tombent sur un os à Brieville. Prêts à en découdre après un rapt contre rançon commis à Anjozorobe par une vingtaine de ravisseurs, des gendarmes d’élite du Groupe de Sécurité et d’Intervention Spéciale (Gsis) se retrouvent bloqués par le mauvais temps.
Les fortes pluies qui s’abattent à longueur de journée dans la zone d’intervention stoppe net la progression des gendarmes et des militaires en train de remonter les traces des kidnappeurs. Le mauvais temps cloue, dans la foulée, au sol la libellule de fer mobilisée pour le ratissage aérien et l’appui des éléments au sol.
Pour le moment insaisissables, les ravisseurs se sont engouffrés avec leur otage dans l’épaisse végétation et la forêt profonde de la zone limitrophe entre Brieville et Tsaratanàna. En plus de ces obstacles liés à la météo viennent, de surcroît, s’ajouter des ennuis mécaniques qui entravent l’avancée des poursuites.
D’après les informations communiquées, une durite a claqué sur l’un des véhicules tout-terrain mobilisé dans cette opération. De leur côté, les ravisseurs sont entrés en contact avec les proches et familles du captif.
Rançon revue
Également confrontés à pareille difficulté, les ravisseurs sont, pour leur part, descendus d’un cran dans leur revendication. Aux dernières nouvelles, le montant exigé par les rançonneurs est passé de sept cent millions d’ariary à quarante millions d’ariary.
L’enlèvement a été perpétré, mardi, par une escouade de ravisseurs avec une barbarie inouïe. Après avoir enlevé une personnalité connue dans le district d’Anjozorobe, les kidnappeurs, pris en chasse par le fokonolona, ont donné du fil à retordre à quatre des poursuivants. Ces derniers ont été charcutés à mort, ce qui a contraint leurs compagnons à faire machine arrière.
L’atrocité dont les ravisseurs ont fait preuve a déclenché une mobilisation de moyens matériels dans un ratissage ponctué de traque aérienne par des militaires héliportés jusqu’à ce que les fortes pluies ne perturbent l’opération. Un enfant terrible du rapt contre rançon, tristement connu dans tout le district de Tsaratanàna, répondant au sobriquet de Da-Kely est identifié comme étant celui qui tire les ficelles dans cette affaire. Sa bande a fait de nombreux ravages dans le district de Tsaratanàna en termes de kidnapping. Des comparses de ce ravisseur tant redouté ont déjà été abattus.
A Madagascar, malgré les preuves produites auprès de la chaîne pénale malgache, RATOVONENLINJAFY Bakoly de la cour de cassation rend un arrêt violant les lois au bénéfice de RANARISON Tsilavo
RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond
RATOVONELINJAFY Bakoly évoque le pouvoir souverain des juges du fond qui n’est applicable qu’à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.
Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites
Les lois applicables à Madagascar sont clairs et se basent sur les lois en France et pourtant les magistrats les violent au bénéfice de RANARISON Tsilavo
Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo
Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même
Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009
Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.
La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.
L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.
Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?
L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.
Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice
RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo
Un matériel de la société CISCO peut être revendu librement contrairement à la plainte de RANARISON Tsilavo et à la motivation des Cours à Madagascar. Car l’article 2 de la loi sur sur la concurrence ainsi que le contenu du site web de la société CISCO sont sans équivoque
On ne peut pas modifier un message qui a été envoyé par la messagerie GMAIL de GOOGLE contrairement aux mensonges de RANARISON Tsilavo auprès de la chaîne pénale malgache